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Cartes Blanches /«Festival Mezipatra »

 

Festival Mezipatra - République tchèque – 99’

+ Samedi 13 nov. 2010 - 17h45 / Salle 100 +

QUEER AS FAMU

Le Queer Film Festival Mezipatra prépare sa onzième édition. Il se déroule traditionnellement au mois de novembre successivement à Brno, Prague et Ostrava. Une partie de son programme est aussi montré dans d’autre villes de République tchèque. Festival exigeant, il nous propose cette Carte blanche de courts métrages de la FAMU (Filmova A Televizni Fakulta Akademie Muzickych Umeni V Praze), l’Académie du film de Prague où, entre autres, Milos Forman et Jiri Menzel ont étudié. (1)

+ http://www.mezipatra.cz

+ http://www.famu.cz

 

FILMS :

- Amsterdam Diary - Lukas Baca (2)

- Les lesbiennes ne portent pas de talons hauts - Viktoria Dzurenkova (3)

- Casse-tête - Dana Bubakova (4)

- Quelque part, quelqu’un - Jakub Smid (5)

- Réunion - Dana Machajova (6)

- Espoir - Jan Kobler (7)

- La robe de mariée - Viktoria Dzurenkova (8)

- Roma Boys - Rozalie Kohoutova (9)

 

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+ Amsterdam Diary (Amsterodamsky dennik)

Lukas Baca, République tchèque, 2008, 9’ - vonst (Anglais)

Un séjour à Amsterdam, immortalisé dans un journal intime, avec un recours à de nombreuses techniques d'animation, raconte le coming-out du réalisateur, sur un ton léger, ludique, mais aussi criant de sincérité. Un témoignage personnel, joliment transposé sous la forme d'une oeuvre d'art.

 

+ Les lesbiennes ne portent pas de talons hauts (Lesby nenosi vysoké podpatky)

Viktoria Dzurenkova, République tchèque 2009, 7’ - sans dialogue

Une femme de 40 ans s'asseoit dans un bar lesbien pour la première fois et se retrouve dans les bras de Theresa. La passion et la lumière froide de l'aube éclairent cette histoire où se mêlent recherche et découverte.

 

+ Casse-tête (Hlavolam)

Dana Bubakova, République tchèque 2009, 5’ - sans dialogue

Un film d'animation qui oscille entre une histoire concrète et l'expression abstraite d'émotions complexes mises en images. Car parfois, face à de telles préoccupations, les mots ne suffisent pas.

 

+ Quelque part, quelqu’un (Nekdy nekoho)

Jakub Smid, République tchèque 2009, 10’ - sans dialogue

Une boîte de nuit, du lait, des têtes d'antilopes empaillées, des voix venant de loin, une tension homo-érotique, et une question : peut-on se sortir de la routine et du vide en commettant un crime ? Des séquences torturées pour un film-cauchemar en noir et blanc.

 

+ Réunion (Shledani)

Dana Machajova, République tchèque 2009, 4’ - sans dialogue

Une description de la nature transposée sous forme d'images, et un jeu sur l'origine de la bipolarité sexuelle.

 

+ Espoir (Nadeje)

an Kobler, République tchèque 2009, 20’ - vo (Tchèque sous-titré anglais) - Avec Jiri Madl, Miroslav Etzler, Vilma Cibulkova.

Les dernières heures de Martin, coureur professionnel, que le sida est en train de tuer. Il supplie ses parents de l'euthanasier, et se remémore son défunt compagnon. Une question se pose alors : y a-t-il encore de l'espoir ?

 

+ La robe de mariée (Saty pro nevestu)

Viktoria Dzurenkova, République tchèque 2009, 14’ - vo (Tchèque sous-titré anglais)

Tout l'enjeu de ce film est de savoir s'il faut ou non, dépasser les frontières, tant bien géographiques que psychologiques. Zdeno, lui, dès l'ouverture des frontières, se met en route pour un périple qui va le mener d'un village tchécoslovaque jusqu’à Berlin, où il voudra se marier.

 

+ Roma Boys

Rozalie Kohoutova, République tchèque 2009, 30’ - vo (Tchèque sous-titré anglais)

Semi- documentaire qui narre la triple discrimination d'un jeune activiste roumain, ce film a pour ambition d'être l'outil, qui fera changer les mentalités sur l'homosexualité dans la communauté roumaine.